Archive pour agriculture

Abeille :  » À la sortie de l’hiver, on a découvert une mortalité de 100 % dans ses six ruches… »

Posted in Actualités et politique, Aliments et boissons, Au comptoir., Hobbies, Organisations, Santé et bien-être with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 12 mars 2015 by Léon Roumagnac

« Les malheurs des abeilles ne sont pas nouveaux. « Il y a vingt ans, on posait un rucher au fond du jardin, sans s’en occuper, on récoltait 80 kg de miel. Aujourd’hui, si on arrive à 12 kg, on est content », relève Isabelle Garnier. Mais l’ampleur de cette mortalité hivernale, habituellement située autour de 5 %, est inédite…. » lire la suite de l’article ici : http://naturealerte.blogspot.fr/2015/03/11032015france-charente-et-charente.html

http://www.sudouest.fr/2015/03/09/hecatombe-apicole-1852867-813.php

http://www.europe1.fr/economie/mortalite-des-abeilles-des-ruches-touchees-a-100-2397723

http://www.midilibre.fr/2015/03/12/l-inquietante-mortalite-des-abeilles-s-aggrave,1134637.php

Nous devons toujours nous rappeler du mot célèbre suivant :  » Si les gens du peuple permettent au gouvernement de décider de leur nourriture et de leurs médicaments, leurs corps ne tarderont pas à présenter l’état pitoyable des âmes qui vivent sous la tyrannie. » Thomas Jefferson (1743-1826) Troisième Président des E.U., auteur de la déclaration d’indépendance.

http://lesbrindherbes.org/2015/02/12/abeilles-le-geant-des-pesticides-bayer-porte-plainte-contre-leurope/

N’oubliez pas que l’abeille est une sentinelle pour votre santé, elle dit haut et fort qu’ elle souffre mais vous aussi !… la seule différence c’est que le processus est plus lent pour l’homme…Pour le moment vous ne voyez pas et vous ne sentez pas encore ce qui vous arrive !…Quoique si vous ouvrez un peu les yeux et si vous ouvrez vos oreilles on peut déjà voir le début du commencement de la fin.

(1)Observation de la récolte du pollen et du nectar sur les fleurs par une abeille « qui butine »…oui, regardez bien la vidéo car bientôt il n’y aura plus beaucoup d’abeilles pour le regarder au naturel…Elles ont pourtant résisté à deux glaciations mais aux Chymiques impossible…

https://mirabel81.wordpress.com/2014/05/11/abeilles-et-si-la-prediction-dalbert-einstein-etait-en-train-de-se-realiser/

https://mirabel81.wordpress.com/2014/04/05/apres-les-semences-les-pesticides-les-engrais-etc-on-sinteresse-tres-activement-aux-abeilles/

https://mirabel81.wordpress.com/2012/10/01/abeilles-tout-va-tres-bien-madame-la-marquise-tout-va-tres-bien-1/

https://mirabel81.wordpress.com/2012/06/01/il-y-a-deja-tres-longtemps-que-labeille-le-criait-haut-et-fort/

Culture : Plus de soirée nocturne au Salon de l’agriculture pour l’année 2015…

Posted in Actualités et politique, Aliments et boissons, Au comptoir., Divertissement, Musique, Organisations, Santé et bien-être with tags , , , , , , , , , , on 21 février 2015 by Léon Roumagnac

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/02/20/20002-20150220ARTFIG00128-les-debordements-alcooliques-ont-eu-raison-de-la-nocture-du-salon-de-l-agriculture.php

Il paraît que c’est la faute aux « alcooliques  » car les producteurs-agriculteurs osaient donner à boire gratuitement aux Bobos du grand bobolang qui est protégé par des remparts de digicodes sophistiqués…De plus comme si les taxes étaient gratuites !…
C’est un grand merci que nous devons dire à tous nos bons édiles de la nomenklatura toutes casaques confondues : il faut interdire …interdisez !…Vous avez raison d’interdire au cas où il y aurait un abus potentiel !…Vous êtes ainsi nos grands sauveurs !…Adieu vaches, moutons, cabrettes, accordéons, saucisses et jambons !….

La seule solution possible est celle d’arracher toutes les vignes …on a le matériel qui convient parfaitement !..voir la vidéo infra.

Laissons de la place car le jeune Han arrive !…

https://mirabel81.wordpress.com/2015/02/14/vers-louest-jeune-han-avec-la-nouvelle-route-de-la-soie/

Un petit poème …

L’âme du vin

Un soir, l’âme du vin chantait dans les bouteilles :
“Homme, vers toi je pousse, ô cher déshérité,
Sous ma prison de verre et mes cires vermeilles,
Un chant plein de lumière et de fraternité !

Je sais combien il faut, sur la colline en flamme,
De peine, de sueur et de soleil cuisant
Pour engendrer ma vie et pour me donner l’âme ;
Mais je ne serai point ingrat ni malfaisant,

Car j’éprouve une joie immense quand je tombe
Dans le gosier d’un homme usé par ses travaux,
Et sa chaude poitrine est une douce tombe
Où je me plais bien mieux que dans mes froids caveaux.

Entends-tu retentir les refrains des dimanches
Et l’espoir qui gazouille en mon sein palpitant ?
Les coudes sur la table et retroussant tes manches,
Tu me glorifieras et tu seras content ;

J’allumerai les yeux de ta femme ravie ;
A ton fils je rendrai sa force et ses couleurs
Et serai pour ce frêle athlète de la vie
L’huile qui raffermit les muscles des lutteurs.

En toi je tomberai, végétale ambroisie,
Grain précieux jeté par l’éternel Semeur,
Pour que de notre amour naisse la poésie
Qui jaillira vers Dieu comme une rare fleur !”

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1861

« La France, plus particulièrement, passe par une fatigue historique, car c’est elle qui, en Europe, s’est le plus dépensée. Si elle est le pays le plus civilisé, elle est aussi le plus vulnérable, le plus usé. Un peuple est menacé quand il a compris, c’est-à-dire quand il a atteint un degré de raffinement qui lui sera nécessairement funeste. »CIORAN avec Sylvie Jaudeau,1988.

Culture : Le Cantal, l’ Aubrac, la gentiane , l’aligot et le rude métier des buronniers….

Posted in Actualités et politique, Aliments et boissons, Divertissement, Hobbies, Livres, Santé et bien-être, Voyages with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 22 janvier 2015 by Léon Roumagnac






 » Nul besoin de texte pour évoquer le rude métier de buronnier, il suffit d’écouter le bruit du vent et le tintement des sonnailles et se mettre dans l’ambiance.
En 1988, il ne restait plus, dans le Cantal, qu’une vingtaine de burons en activité sur le millier répertorié en 1948; aujourd’hui il Les deux derniers burons de l’Aubrac (Camejane en Aveyron et Le Théron en Lozère) furent fermés le 13 octobre 2002, la mise aux normes européennes exigeant des investissements trop lourds.(4) !.. »

(1) »Lou Mazuc » est une chanson en occitan qui décrit la vie simple et rude des buronniers sur le plateau de l’Aubrac dans le Massif central. Si l’Aubrac était un pays, cette chanson en serait l’hymne national. Les habitants de l’Aubrac restent en effet très attachés à ce qu’évoque ce texte même si les burons et le mode de vie bien particulier qui lui est associé appartiennent désormais au passé.

Paroles :

LOU MAZUC

Amoun, amoun dins la montanha,
Al mièg de cada pastural,
Din l’èrba espessa e la ginçana,
Trobaretz un trace d’ostal.

Lo cantalès, lo vedelièr,
Amb lo pastre,
I possan de cranes aücs,
Aiqui l’avètz nostre masuc.

Quand dintraretz dins la cosina,
I veiretz coma mobilièr,
Al prèp d’una taula pauc fina,
Los badinhons e los colièrs.

E al darrièr dins lo terrièr,
La bona cava,
Dins la frescor e dins l’escur,
Garda la forma del masuc.

E tot amont jost la tiulada,
Al ras del fen dels vedelons,
Cadun plegat dins sa fleçada,
Los omes barran los uèlhons.

Se dins la nuèch bufa en gisclent,
La cantauesa,
Darrèr lo pargue rescondut,
S’enduèrm lo tropèl del masuc.

E lo matin plan revilhats,
Dins l’aubièra e los pès nuds,
Amb la gèrla e lo farrat,
S’en van los omes del masuc.

Quand los vedèles an fach un bri(g)al,
Una tetada,
Cada tetina sul farrat,
Es una brava font de lach.

Quand a la fin d’un despartin,
Tastaretz la forma d’Aubrac,
Pensaretz que ser e matin,
Los cantaleses an trimat

Per vos donar coma dessèrt,
Lo bon formatge,
E lor diretz din un aüc :
« Viva los omes del masuc ! »

Viva totes los cantaleses,
Que fan la forma e l’encalat,
Viva los pastres de las devesas,
Al mièg de lor tropèl daurat.

Viva los rols, los vedelièrs,
De la montanha,
E que tojorn sus cada truc,
Demoran dreches los masucs.

(2) Traduction en françoys de la chanson LE MAZUC

Là-haut, là-haut dans la montagne,
Au milieu de chaque pâturage,
Dans l’herbe épaisse et la gentiane,
Vous trouverez une petite maison.

Le cantalès, le bédélier,
Avec le pâtre,
y poussent de retentissants « ahucs »,
C’est bien là notre mazuc.

Quand vous entrerez dans la cuisine,
Vous y verrez comme mobilier,
Autour d’une table fort rustique,
Des baquets et des harnais.

Et sur l’arrière, enterrée,
La bonne cave,
Dans la fraîcheur et dans l’obscur,
Garde la fourme du mazuc.

Et tout là-haut sous la toiture,
À côté du foin pour les petits veaux,
Chacun plié dans sa couverture,
Les hommes ferment leurs petits yeux,

Quand dans la nuit souffle en glapissant,
Le vent (venu) du Cantal,
Derrière le parc, bien caché,
S’endort le troupeau du mazuc.

Et le matin bien réveillés,
Dans la rosée et les pieds nus,
Avec la gerle et le seau ferré,
S’en vont les hommes du mazuc.

Quand les veaux ont fait un brin de tétée,
Chaque tétine sur le seau,
Donne une belle fontaine de lait,

Quand, à la fin d’un repas (goûter paysan ou champêtre),
Vous goûterez la fourme d’Aubrac,
Vous penserez que, matin et soir,
Les buronniers ont trimé,

Pour vous donner comme dessert,
Le bon fromage,
Et vous crierez, dans un ahuc,
Vive les hommes du mazuc !

Vive tous les buronniers
Qui font la fourme et l’encalat,
Vive les pâtres des devèzes
Au milieu de leur troupeau doré.

Vive les rouls et les bédéliers,
De la montagne.
Et que toujours sur chaque truc,
Demeurent debout les mazucs. » Sources Wikipédia.

(3)La gentiane du Cantal …

Aurillac Boutique Gentiane Couderc

La liqueur de gentiane est une boisson apéritive amère et alcoolisée fabriquée par macération et distillation de racines de gentiane jaune d’Auvergne (gentiana lutea) qui lui confèrent son amertume bien spécifique. On retrouve cette plante en importantes quantités dans les monts du Cantal, entre le Puy Mary et le Plomb du Cantal.
La liqueur de gentiane:
Cette boisson semble avoir été inventée vers 1885 par Ambroise Labounoux et commercialisée comme apéritif par la Distillerie de la Salers. Elle répondait à la forte demande de quinquina, boisson amère à base de quinine, souvent bue avec une eau gazeuse, qui était très en vogue à cette époque, d’abord dans les colonies où les fièvres obligeaient à prendre un fébrifuge, puis dans les stations climatiques et thermales, nombreuse en Auvergne.
Les liqueurs à 16 % et à 20 % sont habituellement consommées à l’apéritif. Elles se boivent pures sur glace, ou additionnées de crème de cassis, de sirop de violette, de jus d’orange et servent également pour apporter la note d’amertume « Bitter » dans de nombreux cocktails.
La Salers à 25 % est plus élaborée. L’assemblage final, dans lequel on retrouve des notes d’agrumes, de fruits rouges, de cacao, est moins amer. Il est donc le moyen d’aborder plus facilement l’amertume de la Gentiane. Il sera par exemple plus volontiers consommée sur glace après le repas.
La liqueur de gentiane sert aussi à composer d’autres apéritifs amers comme le Picon, la Suze, Byrrh, Dubonnet, Pikina, Saint-Raphaël, etc. Actuellement, elle sert aussi comme ingrédient pour la « Martiane » (bière à la gentiane) ou dans la confection de certains plats culinaires comme la « roulade de veau à la gentiane »…. » lire la suite de l’article ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Liqueur_de_gentiane

Après l’apéritif il faut, je cite :  » L’aligot est une spécialité culinaire rurale traditionnelle de la région de l’Aubrac (Aveyron, Cantal et Lozère), à base de purée de pommes de terre, de tome fraîche ou « tome d’aligot », de crème, de beurre et d’ail. Ce plat s’est répandu dans le dernier quart du XXe siècle à d’autres régions du Massif central et plus largement en France, notamment à la suite de l’exode rural des bougnats à Paris…Ce mets a été à l’origine une soupe préparée avec du bouillon, des morceaux de pain et avec de la tome fraîche. Les moines de l’Aubrac le servaient, dit-on, aux pèlerins qui traversaient ces montagnes sur la Via Podiensis, pour se rendre à Saint-Jacques-de-Compostelle. Le monastère sur la commune de Saint-Chély-d’Aubrac disparaît pendant la Révolution française mais les agriculteurs qui ont récupéré les terres de l’abbaye perpétuent la tradition, il est notamment confectionné et consommé dans les abris d’estive (les mazucs ou burons) tenus par des vachers-fromagers pour la fabrication du fromage de Laguiole…. »

Bol d'aligot

« … Au XIXe siècle, une mauvaise récolte de blé remplace le pain par des pommes de terre. Au XXe siècle, les Auvergnats spécialisés dans la restauration ont rendu cette préparation populaire.
L’aligot, autrefois plat de subsistance familial, est devenu pour certains un mets dit « de fête », relativement exceptionnel, sauf dans les restaurants se revendiquant rouergats ou auvergnats. Il est assez fréquemment accompagné de saucisse paysanne. Il ne doit pas être confondu avec la truffade, plat vraiment plus cantalien où des pommes de terre en lamelles sont sautées dans du lard et auxquelles on ajoute la tome fraîche…. » lire la suite de l’article ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Aligot

Après le repas s’impose la danse traditionnelle qui est la bourrée, je cite : « À l’origine, la bourrée est une danse traditionnelle par couple. Originaire du Massif central avant le XVIe siècle, elle se distingue en deux variétés : la bourrée auvergnate, rouergate, bourbonnaise, et celle d’Anjou….La bourrée est en général écrite à 2 temps brefs (2/2), avec un départ précédé d’une levée brève (une croche). Son tempo est vif. Son rythme se caractérise fréquemment par la présence de syncopes.
A l’audition, la bourrée peut se confondre avec la gavotte, avec laquelle elle partage la mesure et le départ en levée. Elle s’en distingue cependant par la durée de celle-ci (plus brève dans la bourrée), par le tempo plus vif, et par la présence éventuelle de syncopes. En revanche, la bourrée se distingue plus difficilement du rigaudon (ou rigodon), auquel elle est identique pour certains (Quantz)…. » pour lire la suite de l’article ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bourr%C3%A9e

(4) http://fr.wikipedia.org/wiki/Buron


Ecologie simple : il est temps de refaire un sol vivant pour votre potager…

Posted in Actualités et politique, Aliments et boissons, Au comptoir., Divertissement, Hobbies, Organisations, Santé et bien-être with tags , , , , , , , , , , , , on 21 janvier 2015 by Léon Roumagnac

Il est temps de regarder la constitution du sol de votre jardin potager si cela n’a pas été encore fait …Primitivement, la terre n’était qu’un mélange de gaz et de vapeurs qui, suite à des refroidissements épouvantables dont on ignore encore les causes ou la cause, comme d’ailleurs aujourd’hui quand on entend tel ou tel Tartuffe de l’Ecologie nous dire que l’homme est le plus grand fautif de ce qui nous arrive sur notre Planète… Avec ces zozos là mérite-t-il de vivre l’homme et surtout de respirer ?…D’ailleurs, en consultant tout simplement notre histoire on sait qu’il y a eu des sécheresses autres que celles que nous avons connues ces dernières années. Par exemple en 1303 , c’est la plus importante car on pouvait traverser le Rhin à pied sec…et toutes les autres : 1540, 1719, 1874, etc…Par exemple en 1788, la France a eu un printemps et un été très sec : peu de récoltes et ensuite 1789 !….Voyez bien qu’il faut relire les évènements passés !…D’ailleurs le discours de réception d’ un académicien qui était très intéressant sur ce sujet à été supprimé du Net, pas folle la guêpe !..
– Pour revenir à la terre de votre jardin. On peut déjà faire une analyse approximative de votre terre arable potagère. Vous prélevez à différents endroits de votre grand potager, une certaine quantité de terre pour en obtenir un échantillon moyen ; on en extrait 500 grammes pour le soumettre à l’analyse. Cet échantillon vous le mettez au four pour le sécher puis vous le pesez : la différence avec le poids primitif indique le poids de l’eau. On brûle ensuite le résidu dans un creuset et on pése de nouveau : la nouvelle différence indique le poids de l’humus ou toute la matière organique qui vient d’être brûlée. On verse sur le reste de l’acide chlorydrique qui décompose la calcaire ou carbonate de chaux : la nouvelle différence de poids indique le poids du calcaire. Pour terminer, on délaye la partie restante dans de l’eau ; le sable déposé ; on décante et on laisse sécher pour évaporer le liquide ; on peut avoir ainsi le poids du sable, et celui de l’argile…
– Maintenant si vous voulez avoir une analyse exacte d’une terre qui a pour but de déterminer la quantité d’azote, d’acide phosphorique, de potasse, de chaux que cette terre contient il ne tient qu’à vous d’embaucher un Chimiste ou dans la modernité acheter un Kit-Analyse, je pense que cela doit exister puisque on trouve tout en vente dans cette société de consommation.
– Pour en revenir à la planète Terre, il faut savoir que la croûte terrestre ne mesure environ que 200 kilomètres, soit le 1/30 du rayon de la terre, et est seule solidifiée ; le centre c’est un liquide en fusion avec un noyau qui semble aujourd’hui tourner plus vite…C’est pour cela que nous avons dans certaines régions des eaux chaudes et l’activité des volcans qui vomissent sans cesse du magma et des cendres en énormes quantité…La Planète Terre est un organisme vivant !…

Etude du sol et goûter la terre : http://youtu.be/7-wuBOcObMo

Des sols vivants : http://youtu.be/o0ENBtYFU_M
http://youtu.be/iFMNFOqWUVA

 » Il va falloir remettre de la science dans l’agriculture. » Claude Bourguignon