Archive pour 24 octobre 2014

Franco Simone  » Mágica …… »

Posted in Divertissement, Musique, Santé et bien-être, Voyages on 24 octobre 2014 by Léon Roumagnac

Il faut apprendre à danser  » la bourrée « ….

Posted in Actualités et politique, Aliments et boissons, Au comptoir., Divertissement, Hobbies, Livres, Musique, Organisations, Santé et bien-être with tags , , , , , , , , , on 24 octobre 2014 by Léon Roumagnac

« La Grèce a bu la potion amère, elle a restructuré ses obligations et son économie. Elle a cessé de vivre au-dessus de ses moyens. La France, elle, semble trop fière pour se réformer », explique David Einhorn, PDG du fonds activiste Greenlight, cité par Les Échos.
C’est une analyse sans concession que livre jeudi 23 octobre ce gestionnaire de fonds de pension, à l’occasion d’une conférence d’investisseurs à New York. Pour David Einhorn, le rendement à 1,7% sur les obligations d’État sur 10 ans de la France ne se justifie pas. « Les marchés considèrent la France comme l’Allemagne, alors qu’elle ressemble davantage à la Grèce », étrille-t-il. Pour illustrer son propos il a égrené : la taxe à 75%, les 35 heures, le budget « anti-austérité »… » lire la suite de l’article ici : http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/industrie-financiere/20141023trib644f7a784/un-trader-americain-recommande-de-vendre-la-dette-francaise.html

« M. Eihorn y a recommandé d’acheter des actions de banques grecques et de « shorter » – c’est-à-dire vendre à découvert – les obligations d’Etat (OAT) françaises.
« Tout le monde s’inquiète pour la Grèce. On ferait mieux de s’inquiéter pour la France. Un rendement de 71 points de base sur l’emprunt d’Etat français à 7 ans, c’est comme la licorne, cela n’existe pas », a-t-il martelé, en commentant une présentation « powerpoint » dévoilant une accorte licorne tricolore pourvue d’une baguette en guise de corne.
Tous les clichés y sont. Son petit précis de bérets et baguettes, est émaillé de coupures de presse relatant la récente grève à Air France, l’incendie des bâtiments administratifs à Morlaix par les légumiers en colère, la séquestration des cadres de Goodyear à Amiens… » lire la suite de l’article ici : http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/10/23/quand-les-hedge-fund-misent-contre-la-france_4511405_3234.html

« À l’origine, la bourrée est une danse traditionnelle par couple. Originaire du Massif central avant le XVIe siècle, elle se distingue en deux variétés : la bourrée auvergnate, rouergate, bourbonnaise, et celle d’Anjou.
Forme « savante » :
Bourrée d’Achille de Pécour notée par Feuillet (1700)
Au XVIe siècle, la bourrée est découverte par Margot de Valois lors de ses séjours en Auvergne, et c’est elle qui la rapporte à Paris pour en faire une danse de cour. Au XVIIe siècle, la bourrée développe une forme savante qui sera présente dans les bals et au théâtre : de Lully à Rameau, de nombreux opéras et ballets contiennent des bourrées. Sa grande vogue sera surtout due à l’intégration du pas de bourrée dans les contredanses du XVIIIe siècle.
Au XIXe siècle, le pas de bourrée se codifie et devient l’un des principaux pas du ballet classique.
Dans la suite de danses, à l’époque baroque, la bourrée fait partie des « galanteries » : danses d’allure populaire pouvant prendre place entre la sarabande et la gigue. Elle est fréquemment associée à la gavotte, au menuet ou au passepied (cf. J.S. Bach, Suites françaises n° 5-6, BWV 816-817). Comme les autres « galanteries », elle est fréquemment associée à une seconde bourrée, dans le ton homonyme (ex. do majeur – do mineur) ou, plus rarement, relatif (do majeur – la mineur). Cf. J.S. Bach, Suites anglaises n° 1-2, BWV 806-807). Elle peut être aussi suivie d’un double (variation ornementale). Cf. J.S. Bach, Ouverture [Suite] pour orchestre n° 1 en do majeur, BWV 1066.
La bourrée est en général écrite à 2 temps brefs (2/2), avec un départ précédé d’une levée brève (une croche). Son tempo est vif. Son rythme se caractérise fréquemment par la présence de syncopes.
A l’audition, la bourrée peut se confondre avec la gavotte, avec laquelle elle partage la mesure et le départ en levée. Elle s’en distingue cependant par la durée de celle-ci (plus brève dans la bourrée), par le tempo plus vif, et par la présence éventuelle de syncopes. En revanche, la bourrée se distingue plus difficilement du rigaudon (ou rigodon), auquel elle est identique pour certains (Quantz)…. » lire la suite de l’article ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bourr%C3%A9e

Après les Grecs nous allons nous aussi nous mettre à la danse du pays, c’est à dire « la bourrée « … https://mirabel81.wordpress.com/2012/02/07/il-faut-apprendre-a-danser-le-sirtaki/

Heureusement que nous avons l’art contemporain, voir l’article culturel ici : http://www.les-crises.fr/godemiche-vendome/

Vendredi 24 octobre 2014 : la météo du Bas-Quercy…

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HIGH 6°CHIGH 6°C
at 00:12
LOW 3°CLOW 3°C
at 07:30
Wind
NW 2 km/hNW 2 km/h
High Gust 6 km/h at 00:24
Humidity
97%97%
Feels Like 2°C
Rain
0.0mm0.0mm
Seasonal Total 625.2mm
Barometer
1021.3hPa1021.3hPa
Steady
Current Conditions as of 8:24 Friday, October 24, 2014

Clément MAROT  » Elle a un oeil riant, qui blesse mon coeur tout plein de loyauté….

Posted in Divertissement, Hobbies, Livres, Santé et bien-être with tags on 24 octobre 2014 by Léon Roumagnac

Norman_Lindsay_Nancy

Ballade de s’amie bien belle

Amour, me voyant sans tristesse
Et de le servir dégoûté,
M’a dit que fisse une maîtresse,
Et qu’il serait de mon côté.
Après l’avoir bien écouté,
J’en ai fait une à ma plaisance
Et ne me suis point mécompté :
C’est bien la plus belle de France.

Elle a un oeil riant, qui blesse
Mon coeur tout plein de loyauté,
Et parmi sa haute noblesse
Mêle une douce privauté.
Grand mal serait si cruauté
Faisait en elle demeurance ;
Car, quant à parler de beauté,
C’est bien la plus belle de France.

De fuir son amour qui m’oppresse
Je n’ai pouvoir ni volonté,
Arrêté suis en cette presse
Comme l’arbre en terre planté.
S’ébahit-on si j’ai plenté*
De peine, tourment et souffrance ?
Pour moins on est bien tourmenté
C’est bien la plus belle de France.

ENVOI

Prince d’amours, par ta bonté
Si d’elle j’avais jouissance,
Onc homme ne fut mieux monté
C’est bien la plus belle de France.
(*) quantité
Clément MAROT,1497-1544.